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Le Général Palmer est un Officier britannique qui achète auprès de la famille Gasq un domaine dans le village de Margaux en 1814. Le Général, qui est un homme de passion, sacrifie beaucoup de temps et d’argent dans ce domaine. Il agrandit le vignoble pour atteindre 82 hectares en 1830. Pour des raisons financières, il devra vendre sa propriété en 1843. Son nom et son dévouement pour l’excellence resteront eux, inhérents au Château.
En juin 1853, deux frères banquiers et rivaux des Rothschild, les Péreires, se portent acquéreurs du château. Ses derniers sont, eux aussi, des personnages hors du commun, enrichis par la reconstruction de la France sous Napoléon III. Ils sont plus connus pour la création de la célèbre station balnéaire d’Arcachon.
Seulement deux ans plus tard le Château est classé au rang de Troisième Cru Classé, alors qu’il est considéré être du niveau des Premiers Crus Classés par bien des dégustateurs. Les Péreires continuent d’embellir le Château Palmer et de réorganiser le vignoble. La fin du XIXe siècle et le début du XXe ne sont guère cléments pour le vignoble bordelais et la crise de 1930 forçera les banquiers à céder le Château. Celui-ci sera repris par quatre familles bordelaises, dont les Mähler-Besse et les Sichel, qui sont à ce jour toujours actionnaires du Château.
Après les drames de la Seconde Guerre mondiale, les années 50 voient la reconstruction du vignoble. Grâce à l’appui de la Famille Chardon, une dynastie de régisseurs présents à Château Palmer depuis 1893, et l’investissement des propriétaires, Château Palmer s’inscrit dans l’histoire en sublimant certains millésimes comme 1961, encore noté 99 par Robert Parker, qui constitue une véritable légende à Margaux.
Aujourd’hui
En 2004 les actionnaires confient les rênes de Château Palmer à Thomas Duroux, ingénieur agronome et œnologue. A 34 ans il apporte ses dix ans d’expérience acquise à travers le monde chez les plus grands (Toscane, Californie…). Toujours en quête d’absolu, ce dernier innove par la tradition. Des graves sableuses en surface et argileuses en profondeur forment ce terroir unique qui est au cœur du style Palmer. « Ce qui est fascinant, c’est que, malgré quatre-cents ans d’histoire, on n’a pas encore tout révélé, on dévoile progressivement de nouvelles choses »
Alter Ego 2017 Margaux |
67,20 € |
Haut Batailley 2017 Pauillac |
60,00 € |
Latour à Pomerol 2013 Pomerol |
64,80 € |
Rauzan-Segla 2012 Margaux |
78,00 € |
Issan 2016 Margaux |
66,00 € |
Volnay 1er Cru Clos D'Audignac 2016 Pousse D'Or |
72,00 € |
Giscours 2016 Margaux |
66,00 € |
Giscours 2016 Margaux |
66,00 € |
Issan 2016 Margaux |
66,00 € |
Giscours 2016 Margaux |
67,20 € |
Beaune 1er Cru Cuvée du Noyer 2017 Laurent Ponsot |
69,60 € |
Rauzan-Segla 2017 Margaux |
72,00 € |
Giscours 2017 Margaux |
58,80 € |
Giscours 2017 Margaux |
58,80 € |
Brane Cantenac 2017 Margaux |
66,00 € |
L’Alter ego est le second vin du château Palmer. Cette cuvée résulte en fait d’une expression différente du terroir et du millésime que celle de son ainé, le château Palmer. Avec son fruit intense, croquant et suave, l’Alter Ego est un vin spontané qui montre souplesse, rondeur, et surtout gourmandise.