Louis-Benjamin Dagueneau, qui travaillait depuis plusieurs années aux côtés de son père et sa sœur Charlotte (côté commercial) sont en charge du domaine depuis la disparition de Didier en septembre 2008. Louis Benjamin perpétue l'esprit artisanal haut de gamme de cette petite propriété où la conduite du vignoble se fait avec maîtrise et sérénité. Ici, les vendanges en caisses se font dans délai très court, à maturité optimale, à grand renfort de personnel. L'usage de levures sélectionnées, les débourbages serrés et les élevages longs sur lies sans soutirage demeurent la base d'une quête absolue de l'expression cristalline du sauvignon – rehaussée d'un élevage millimétré sous bois, dans des fûts de volume supérieur aux barriques, des « cigares » (320 litres) ou des « tonnes » (600 litres).
Sept cuvées composent la gamme : Blanc Fumé de Pouilly (ex-Chailloux), assemblage de quatre parcelles ; Pur Sang, assemblage du secteur de la Folie ; Buisson Renard, un parcellaire de Saint-Andelain, plus compact ; Silex, pureté cristalines des argiles à silex ; Sans oublier le rarissimes Clos du Calvaire : 20 ares plantés à 14000 pieds/ha, arrachés en 2009 (2008 étant le dernier millésime) et replantés dans un autre sens à 10 000 pieds/ha (prochain millésime vers 2015), et l'Astéroïde – issu d'un vignoble franc de pied vendangé toujours très mûr. Enfin, derniers terroirs (en attendant le rouge que Benjamin a envie de vinifier), le sancerre de Chavignol, issu du cœur du grand cru de la Côte des Monts Damnés. Rappelons que les passionnés de l'épure des sauvignons signés Dagueneau doivent découvrir les précieux jurançons que la famille produit aux Jardins de Babylone. Source : Guide des Meilleurs Vins de France 2012
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Louis-Benjamin Dagueneau, qui travaillait depuis plusieurs années aux côtés de son père et sa sœur Charlotte (côté commercial) sont en charge du domaine depuis la disparition de Didier en septembre 2008. Louis Benjamin perpétue l'esprit artisanal haut de gamme de cette petite propriété où la conduite du vignoble se fait avec maîtrise et sérénité. Ici, les vendanges en caisses se font dans délai très court, à maturité optimale, à grand renfort de personnel. L'usage de levures sélectionnées, les débourbages serrés et les élevages longs sur lies sans soutirage demeurent la base d'une quête absolue de l'expression cristalline du sauvignon – rehaussée d'un élevage millimétré sous bois, dans des fûts de volume supérieur aux barriques, des « cigares » (320 litres) ou des « tonnes » (600 litres).
Sept cuvées composent la gamme : Blanc Fumé de Pouilly (ex-Chailloux), assemblage de quatre parcelles ; Pur Sang, assemblage du secteur de la Folie ; Buisson Renard, un parcellaire de Saint-Andelain, plus compact ; Silex, pureté cristalines des argiles à silex ; Sans oublier le rarissimes Clos du Calvaire : 20 ares plantés à 14000 pieds/ha, arrachés en 2009 (2008 étant le dernier millésime) et replantés dans un autre sens à 10 000 pieds/ha (prochain millésime vers 2015), et l'Astéroïde – issu d'un vignoble franc de pied vendangé toujours très mûr. Enfin, derniers terroirs (en attendant le rouge que Benjamin a envie de vinifier), le sancerre de Chavignol, issu du cœur du grand cru de la Côte des Monts Damnés. Rappelons que les passionnés de l'épure des sauvignons signés Dagueneau doivent découvrir les précieux jurançons que la famille produit aux Jardins de Babylone.
Source : Guide des Meilleurs Vins de France 2012