Cette propriété historique (c'est au Château de Pressac, à l'issue de la bataille de Castillon, qu'a été signé le traité mettant fin à la guerre de Cent Ans) a été rachetée en 1997 par J.F. et D. Quenin qui ont entrepris d'importants travaux de rénovation et d'amélioration tant dans la vigne que dans les chais.
Le domaine, d'un seul tenant, a une superficie totale de 42 ha dont 36 ha de vignes.
" Un vieux château, dont parties sont tombées en ruines, et précédé de douves, logements de paysans, chais, cuviers, fue, avant cours, le tout entouré de murs. " C'est ainsi que le notaire du temps décrivait le château de Pressac lors de sa vente par le sieur d'Anglade à Jean-Marc Constantin, capitaine du régiment de Marmande, en 1775. Cette indication est intéressante dans la mesure où elle prouve formellement l'existence d'un vignoble autour du château au XVIIème siècle.
On sait d'autre part que ce manoir fortifié fut plusieurs fois remanié et que sa première fondation remonte au Moyen Age. Vers le début de la Renaissance, c'était un édifice imposant qui ne comptait pas moins de vingt-sept tours, certaines d'entre elles existant encore aujourd'hui à l'état de vestiges.
C'est au Château de Pressac, à l'issue de la bataille de Castillon, qu'a été signé le 20 juillet 1453 la reddition mettant fin à la guerre de cent ans.
C'est également au Château de Pressac que de 1737 à 1747, Vassal de Montviel implanta dans ses vignobles un cépage coble originaire du Quercy : l'Auxerroix. Autour de lui on fit de même, et le cépage prit le nom de " Noir de Pressac ". Plus tard, le sieur Malbek l'emmena dans le Médoc, et le cépage fut appelé " Malbec ".
En 1860 Maximim Josselin rachète le domaine à la famille Constantin et entreprend de très importants travaux de reconstruction et de rénovation du château et de ses dépendances.
En 1997, Jean François et Dominique Quenin acquièrent la propriété. Ils effectuent à leur tour d'importants travaux d'amélioration et d'extension du vignoble.
Ils remettent notamment en culture des coteaux escarpés, anciennement travaillés avec des boeufs, en créant d'étroites terrasses en courbe de niveau.
Le chai, quant à lui a été entièrement repensé et rénové en 1999.
Cette propriété historique (c'est au Château de Pressac, à l'issue de la bataille de Castillon, qu'a été signé le traité mettant fin à la guerre de Cent Ans) a été rachetée en 1997 par J.F. et D. Quenin qui ont entrepris d'importants travaux de rénovation et d'amélioration tant dans la vigne que dans les chais.
Le domaine, d'un seul tenant, a une superficie totale de 42 ha dont 36 ha de vignes.
Encépagement :
Merlot : 72 %
Cabernet Franc : 14 %
Cabernet Sauvignon : 12 %
Pressac (Malbec) : 1 %
Carmenère : 1 %
HISTOIRE DU CHATEAU DE PRESSAC
" Un vieux château, dont parties sont tombées en ruines, et précédé de douves, logements de paysans, chais, cuviers, fue, avant cours, le tout entouré de murs. " C'est ainsi que le notaire du temps décrivait le château de Pressac lors de sa vente par le sieur d'Anglade à Jean-Marc Constantin, capitaine du régiment de Marmande, en 1775. Cette indication est intéressante dans la mesure où elle prouve formellement l'existence d'un vignoble autour du château au XVIIème siècle.
On sait d'autre part que ce manoir fortifié fut plusieurs fois remanié et que sa première fondation remonte au Moyen Age. Vers le début de la Renaissance, c'était un édifice imposant qui ne comptait pas moins de vingt-sept tours, certaines d'entre elles existant encore aujourd'hui à l'état de vestiges.
C'est au Château de Pressac, à l'issue de la bataille de Castillon, qu'a été signé le 20 juillet 1453 la reddition mettant fin à la guerre de cent ans.
C'est également au Château de Pressac que de 1737 à 1747, Vassal de Montviel implanta dans ses vignobles un cépage coble originaire du Quercy : l'Auxerroix. Autour de lui on fit de même, et le cépage prit le nom de " Noir de Pressac ". Plus tard, le sieur Malbek l'emmena dans le Médoc, et le cépage fut appelé " Malbec ".
En 1860 Maximim Josselin rachète le domaine à la famille Constantin et entreprend de très importants travaux de reconstruction et de rénovation du château et de ses dépendances.
En 1997, Jean François et Dominique Quenin acquièrent la propriété. Ils effectuent à leur tour d'importants travaux d'amélioration et d'extension du vignoble.
Ils remettent notamment en culture des coteaux escarpés, anciennement travaillés avec des boeufs, en créant d'étroites terrasses en courbe de niveau.
Le chai, quant à lui a été entièrement repensé et rénové en 1999.